DAYS/ faire un truc par jour

"C’est comme si je me sentais plus léger en notant tout sincèrement ».S MaraÏ

Tag: dessin

Promenade

Temps printanier / je pars de La Citre et laisse la voiture là. Environ 15 km de chemins que je ne connais pas. Cette application est géniale. Traversée de ruisseaux, de forêts, grand soleil. Retour vers 14h .Lecture au soleil. Yaourt et céréales. Dessin et papier carbone que je redécouvre. Sais pas si c’est bien. ( repensons à la lettre géniale de Sol Lewit à Eva Hesse ).

Chère Eva, 

Cela va faire quasiment un mois que tu m’as écrit, et peut-être as-tu oublié quel était ton état d’esprit (quoique j’en doute). Tu ne changes pas et, fidèle à toi-même, tu ne le supportes pas. Non ! Apprends à dire au monde : « Va te faire foutre ! » une fois de temps en temps. Tu en as le droit. Cesse un peu de penser, de t’inquiéter, de te méfier, de douter, de t’effrayer, de peiner, d’espérer une issue facile, de lutter, de te cramponner, de t’embrouiller, de gratter, de griffer, de marmonner, de bafouiller, de grogner, de te rabaisser, de broncher, de marmotter, de grommeler, de miser, de culbuter, d’écumer, d’escalader, de trébucher, de tramer, de rouspéter, de pleurnicher, de te lamenter, d’affûter, de désosser, de déconner, de pinailler, de chicaner, de compisser, de trifouiller, de t’emmerder, de te leurrer, de moucharder, de cafarder, de poireauter, de tâtonner, d’abominer, de payer, de scruter, de percher, d’entacher, de trimer, de trimer encore et encore. Arrête — et contente-toi de FAIRE ! 

D’après ta description, et d’après ce que je sais de ton travail antérieur et de ta capacité ; ton travail semble très bon « Dessin-propre-clair mais dingue comme des machines, en plus grand et en plus vigoureux… véritable non-sens ». Ça m’a l’air bien, formidable — du véritable non-sens. Va plus loin. Encore plus de non-sens, encore plus de dinguerie, encore plus de machines, encore plus de seins, de pénis, de chattes, de ce que tu veux — fais foisonner tout ça avec le non-sens. Essaie de titiller cette chose en toi, ton « humour bizarre ». Tu appartiens à la part la plus secrète de toi-même. Ne te préoccupe pas de ce qui est cool, fais ce qui selon toi n’est pas cool. Fabrique ce qui t’est propre, ton propre monde. Si tu as peur, fais-le fonctionner pour toi — dessine & peins ta peur et ton anxiété. Et cesse de te préoccuper de ces choses grandes et profondes telles qu’« opter pour un but et une manière de vivre, l’approche cohérente d’une finalité même impossible ou d’une finalité même imaginaire ». Tu dois t’entraîner à être stupide, muette, étourdie, vide. Alors tu seras capable de FAIRE ! 

J’ai grande confiance en toi et bien que tu te tourmentes, ton travail est très bon. Essaie un peu de faire du MAUVAIS travail — le pire qui te vienne à l’esprit et vois ce qui se passe, mais surtout détends-toi et envoie tout au diable — tu n’es pas responsable du monde — tu es seulement responsable de ton œuvre — donc FAIS ÇA. Et ne pense pas que ton œuvre doive se conformer à une quelconque forme, idée ou saveur préconçue. Elle peut être tout ce que tu veux qu’elle soit. Mais si la vie était plus facile pour toi en arrêtant de travailler — eh bien arrête. Ne te punis pas. Je pense toutefois que c’est si profondément enraciné en toi qu’il devrait t’être plus facile de FAIRE ! 

Quelque part, malgré tout, il me semble que je comprends ton attitude, parce que je traverse parfois un processus similaire. Je suis pris dans une « Déchirante Réévaluation » de mon travail et je change tout autant que possible = je déteste tout ce que j’ai fait, et j’essaie de faire quelque chose d’entièrement différent et meilleur. Peut-être ce genre de processus m’est-il nécessaire, parce qu’il me pousse à avancer. Le sentiment que je peux faire mieux que la merde que j’ai faite. Peut-être as-tu besoin de ton déchirement pour accomplir ce que tu fais. Et peut-être que cela t’incite à mieux faire. Mais c’est très douloureux, je le sais. Ça irait mieux si tu avais assez confiance pour faire le boulot sans même y penser. Ne peux-tu laisser le « monde » et l’« ART » tranquilles et aussi cesser de flatter ton ego. Je sais que tu (comme n’importe qui) ne peux travailler que jusqu’à un certain point et que le reste du temps tu es livrée à tes pensées. Mais quand tu travailles ou avant de travailler tu dois vider ton esprit et te concentrer sur ce que tu fais. Après que tu as fait quelque chose, c’est fait et c’est comme ça. Au bout d’un moment, tu peux voir que des choses sont meilleures que d’autres, mais tu peux voir aussi dans quelle direction tu vas. Je suis sûr que tu sais tout cela. Tu dois aussi savoir que tu n’as pas à justifier ton travail — pas même à tes propres yeux. Bon, tu sais que j’admire grandement ton travail et que je ne comprends pas pourquoi il te tracasse autant. Mais tu peux voir ce qui va suivre et moi non. Tu dois aussi croire en ta capacité. Je crois que c’est le cas. Alors tente les choses les plus outrageantes que tu peux — choque-toi toi-même. Tu as en ton pouvoir la capacité de tout faire. 

J’aimerais voir ton travail, mais je me contenterai d’attendre août ou septembre. J’ai vu des photos de choses nouvelles de Tom chez Lucy. Elles sont impressionnantes — surtout celles qui ont la forme la plus rigoureuse : les plus simples. Je suppose qu’il en enverra d’autres plus tard. Dis-moi comment se déroulent les expositions et ce genre de choses. 

Mon travail a changé depuis que tu es partie et il est bien meilleur. Je ferai une exposition du 4 au 9 mai à la Daniels Gallery, 17 East 64th Street (là où était Emmerich), j’espère que tu pourras être là. Mon affection à tous les deux, 

Sol 

Source : Lettre de Sol LeWitt à Eva Hesse datée du 14 avril 1965, Sot LeWitt, cat. exp., éditions du Centre Pompidou-Metz, 2012.

Première publication en anglais in Lucy R. Lippard, Eva Hesse, cat. exp., New York. New York University press, 1976. L’original de la lettre est conservé dans la LeWitt Collection, Chester, Connecticut, États-Unis. Traduit de l’anglais par Catherine Vasseur. 

C’est de l’imagerie, du montage d’images. Pas plus. Ne vois pas le temps passer. Hier verre et un peu de fromage de chèvre avec G et M. Puis retour et « melofilm « très beau. Cold War de Pawel Pawlikowski.

Appel de Y. émouvant – et qui décide de repartir en Chine. Je lui dis de ne rien précipiter, de ne pas prendre de décisions irréversibles. Qu’il rentre et voie sa famille quittée depuis plus d’un an. Il est triste . Ca me touche. Il a peur de m’avoir déçue. Il dit qu’il a 30 ans. Ce qu’il fait est très beau/ des costumes, des coiffes , des dessins, des rideaux. Mais sans doute trop réservé.Pas facile tout ça. Si c’est en Chine qu’il est heureux il faudra rester en Chine.

En écoutant….

Ce n’est pas une crucifixion ( plutôt une crucifiction d’ailleurs ). Les oiseaux ce matin sont bavards. Une mouche bourdonne. Il y a pas mal de coccinelles et les vaches -je tourne la tête – broutent doucement. Automne, feuilles mortes ( ben oui ). Promenades de 10-12 km chaque jour. Cette petite application me permet de trouver plein de nouveaux chemins et surtout d’en sortir. Tout se ressemble un peu dans les bois. A propos, je ne comprends pas ces traces de chenilles qui créent de vrais autoroutes forestiers. On a l’impression que Herzog vient de filmer la montée du bateau de Fitzcarraldo. J’ai repris Conquête de l’inutile que j’avais abandonné. Mais voici que je comprends que ce n’est pas vraiment un journal, mais une fièvre pleine d’animaux, de serpents et d’oiseaux.

« Conquête de l’inutile survivra à tous mes films. J’en suis sûr. Les films ont de toute façon une durée de vie limitée. Les gens doivent bien comprendre que ce livre est une œuvre de prose, un rêve ou un délire en état de fièvre. A fever dream. A fever delirious. Ce n’est pas un journal de tournage. Seule la structure extérieure en adopte la forme et le ton.  C’est un texte purement littéraire déguisé en journal de bord. A l’origine c’était bien sûr un journal, mais seule une toute petite partie de ce qui y est écrit est tiré d’événements effectivement survenus au cours du tournage de Fitzcarraldo (1982). Je décris avant tout des événements intérieurs. Je le redis, c’est le rêve d’un homme qui a la fièvre. C’est un livre de catastrophes inventées. Comme si, pendant que je tournais Fitzcarraldo, j’écrivais de la poésie sur ce que c’est que vivre dans la jungle. » – Werner Herzog.« J’ai cette réputation sulfureuse de prendre des risques lors de mes films, de faire des choses risquées, mais cela n’est pas de mon fait, c’est le problème des médias, mais je dois reconnaître qu’il m’est arrivé de jouer avec la roulette russe. »

J’ai retrouvé un article ou il déclare: « JE VEUX ÊTRE LE FRELON QUI PIQUE »( 19 aout 2020 / Le Monde. Je ne connais pas son dernier film Family Romance, tiens je vais voir.

Pas encore remontée sur le vélo.

Repris LES MOTS DU SOIR saison II: Herzog, Kundera, Edward Bond, Beckett. Ce soir je ne sais pas ce que j’enverrai. Je fais ça lorsqu’il fait nuit, vers 18h. AUjourd’hui, c’est le dernier jour de l’exposition. Hum. Elle aura quand même duré un peu.

Ici je trie des articles découpés, les assemble. J’ai installé une grande table pour dessiner. Mardi on aura la fibre ( je ne voulais pas mais vues les circonstances je suis obligée). Je n’ai pas résisté à l’achat de Metropolis de Phillip Kerr !J’avais été très déçue par Bleu de Prusse que je trouvai sans intêrêt sauf pour les éditeurs au moment de sa mort.

J’ai mal au dos sauf quand je marche.

Prends un siège Cinna, et assieds toi par terre

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Il ne faut pas m’en vouloir mais ça m’a toujours fait rire, ce prends un siège… un peu béta. Dans ma famille on en usait pas mal.

P. me dit qu’il est content car Murakami a acheté 3 km de toile. Bon ben relevons nos smokings et engueulons nos assistants. A mon avis il veut commencer à recouvrir la muraille.Je vais appeler Trump pour lui proposer une séparation esthétique et peinte,  avec le Mexique. J’y écrirai FUCK ( Voir post précédent. ) et j’aurai la légion d’honneur pour fait d’humanité et de solidarité.

« Le mur que rêve d’établir Donald Trump sur la totalité de la frontière existe déjà dans certaines zones des États-Unis. La frontière avec le Mexique fait 3 200 kilomètres. Des murs comme celui de Nogales n’existent que sur 900 kilomètres. Rendre cette frontière totalement hermétique est un projet titanesque qui semble difficilement réalisable. » 

Une des infos presse du jour : Zsa Zsa GAbor18 décembre 2016, Bel Air, Los Angeles, CA

Michèle Morgan est décédée.

Mercredi. Ca sent le samedi tous les jours avec Noel qui se prépare. Je dessine comme une machine.Hier sortie seulement pour aller diner chez E . et V. J’y vais à pieds et chaque fois me dis que Paris est une bien petite ville. Je traverse le pont,une bouffée de tristesse et je m’arrête prends une photo pour AM à Bogota en disant:

—Ce soir en marchant seule dans Paris et en pleurant à peine à peine, voici la Seine. 

Je m’aperçois qu’elle m’écrit au même moment:

Je suis entrain de lire DAYS , je vois que tu dessines avec beaucoup de plaisir. Envoie moi des photos/

C’est amusant ces lien dans le temps sans s’occuper d’espace. Avec R.on s’appelait souvent au même moment

On dine à 3 . M et sa cousine mangent en filles. Dans la chambre la pizza et l’ordi. Elle est belle comme tout, ça y est un papillon sortie de la chrysallide. Excellente soirée simple et chaleureuse. Quoi de mieux. En plus E. fait une cuisine délicieuse. On esquinte sérieusement un gigot qui était cuit pour 6 et on étouffe le foie gras délicieux. Non ! Pas de tarte. Pitié..

Retour Velib dans le frais délicieux.

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La mort de Sarpedon

Ce matin l’exposition Oscar Wilde. C’est très beau mais objectivement c’est fait pour 4 visiteurs sinon on est serré. Un William Blake qui vient d’une collection particulière ( Sarpedon.. )

A propos de « La renaissance de Venus de Walter Crane »:

«  Ce qu’il y a de mieux dans ce tableau c’est un pommier!!! »

JE FILE VERS LA SORTIE POUR VISITER À L’ENVERS. BONNE IDÉE. J’ÉCOUTE BADINTER, J’ADORE BADINTER ( TU TE SOUVIENS E. QUAND IL NOUS REGARDAIT FAIRE DU SPORT DANS LE JARDIN DU LUXEMBOURG…Je me dis que Badinter n’a ni rosette ni decoration visible. Evidemment; Pas besoin de béquilles .

Zut majuscule. je laisse.

Les autres expositions sont ennuyeuses ( La paix-quelques belles choses … et Besnard atroce peintre académique )

 

Mecki par ci, Mecki par là

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Partir de Drummond de Melfort pour arriver là:  AK – Kindermotiv, Glasperlenaugen, puppe, Kleinkind, c’est à dire dans le royaume de Mecki , c’est quand même amusant. Suis passée par des grottes, des duels, des scènes équestres et des cartes postales de Noel horribles.

 

Hier après midi je m’endors en re-regardant l’homme qui aimait les femmes. Le début est splendide avec toutes les voitures qui se garent côte à côte.

Dessin hier après midi ici, et FC : Simon Leys/ Intéressant.

Rapide visite au BHV ( c’est déjà l’horreur de Noel ), expo de SR au centre Japonais.

Bonne soirée à la galerie. Edith arrive. je l’appelle Mémère Scob pour la taquiner

Merci petite Hélène de m’avoir invitée ; je n’ai parlé qu’avec des gens sympathiques, ce qui n’est pas si fréquent ! t’embrasse tendrement Alice

Tiens cette nuit j’ai cassé un grand miroir.( c’est sans doute les photos de Bascoulard qui tient son miroir brisé pendant la pause ) Et je n’arrivais pas à sortir d’une espèce de passage en barbelés.Puis , ah oui, on voyait une immense et magnifique perspective comme un sous bois et qui montait qui montait. Je cherche une perceuse et passe dans des rue . Il y a des pieds de bébé qui sortent d’un chou-fleur blanchâtre. Il est debout puis oscille , je passe dégoutée et ça fait splash comme une matière molle. Je fais un détour pour ne pas repasser là. Je soupire en écrivant. Mais c’était vraiment dégueu ce truc.

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What a difference a day makes…

Twenty four little hours

What the sun…

My yesterday was???

Messe à Saint Roch. C’es la Sacem qui m’avait prévenue. J’y suis allée mais je ne connaissais personne de la Sacem. J’embrasse Dominique Delouche. Bon. C’était plein. ( le nombre de disparus cette année c’est dingue , entre Papa Wemba, Michel Tournier etc… )

En sortant il pleut mais je marche dans le jardin . C’est beau et je fais une photo-poncif= les chaises dans le jardin vide mais ça me fait sourire ce genre de carte postale!!! Il y a une séance photo avec un jeune garçon noir très beau. Le photographe veut me prendre aussi. Dac. Ne regardez pas vers moi et marchez. 

Je photographie à mon tour le garçon, puis des scouts qui s’accrochent le pied avec une ficelle, puis un type en kilt. Mais ses chaussettes font des plis.

Au boulot.

REVEIL?

Je me suis conditionnée pour croire que je pouvais jouer au tennis ce midi.

Pris le métro. F. m’attend à Universités et c’est parti. Je serre les dents. Mais je tiens et même ça me réveille dirait-on.

Presque deux heures ( mais je m’arrête régulièrement). Au retour, Villa-Matas ( Paris ne finit jamais) perturbé par ma voisine qui textote comme une dingue sur un écran très grand puis attaque un jeu, puis retextote. En face de moi même scène jouée par un homme. J’essaie d’oublier ces mouvements nerveux et quand je vérifie sans le vouloir que ma voisine continue ou pas, je vois que son téléphone est remplacé par un petit carnet à carreaux.

Elle y trace un tout petit ovale au crayon. Avec d’infinies précautions. C’est saisissant le contraste entre sa frénésie d’il y a un petit moment et ce calme appliqué si soudain.

Puis elle en gomme une partie avec application puis reprend doucement les contours courbes et géométriques à la fois.

( A l’instant me vient l’image de la Jasserie des Garniers en altitude -pourquoi? Aucune idée. Rien à voir avec les ovales.)

Plus tard il y aura deux ovales. Des yeux? Je ne le saurai jamais. Mais est-ce la preuve que le dessin calme et guérit!!!?

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Proust / dessin

La tache

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Nijinski

Ce n’est pas celle d’Hawthorne . … C’est  la preuve. Ce matin je passe rapido au labo pour expliquer à G . ce que je veux. Et demain matin ce sera prêt.

Donc la preuve que j’ai changé de médium, que l’ordi a dormi toute la journée.

10 degrés là-bas mais c’est bizarre, je n’ai pas froid. Il faut dire qu’assembler des châssis de Chez M. ça réchauffe. Et vas y à la masse avec un morceau de bois pour protéger le châssis lui-même. Sans rire , ils sont mal ajustés. Il va falloir le redire.

J’avais rangé l’atelier avant de partir ( nulle part) et donc c’était agréable. Vu que ma bouilloire a explosé rien de chaud. Pas grave. Retrouve France-Culture. D’une oreille comme d’habitude.

Je n’arrive pas à élucider le problème video qui indique que je n’ai pas de vidéos. Est ce que le fait de mettre un mot de passe est responsable?

Croise D., puis commence à dessiner .

« album des Douleurs »

fatigue du coeur

Fatigue coeur

Yeux

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Ai terminé le J.Coe. C’est très agréable, étonnant que tous ces personnages épars se retrouvent plus ou moins au même endroit. Drôle aussi l’invention de ce réalisateur aux films perdus ou détruits ( ne reste qu’une seule image ) . Il aurait inspiré à Pasolini Salo. C’est une bonne idée.

Pour les transports c’est l’idéal ( si j’étais écrivain, je n’aimerais pas entendre cela. Disons que pour les transports c’est l’idéal aussi. J. Coe est né en 1961 mais il a l’air plus âgé d’après ce que j’ai vu??

Presque fini Forêt noire de V. Mrejen.

Dentiste.

Courses de bouffe. Queue.

Demain Maison des A.

Allez chez Otrad, chez Ikea,Argenteuil.

RAS.

Pris billet Nice Rennes pour Juillet . Ouf je n’aurais pas tout ce train , toutes ces heures dans des trains aux périodes de vacances qui plus est .Restera quand même Rennes Pontivy…

Le prix est le même à peu de choses près.

 

Tiens comme par hasard je choisis cette image avant de parler de Coe. Il y a tout un passage où il est question d’yeux, de fantasmes, de regard. Tiens tiens.

Et alors qu’hier je trouvais un titre à des histoires que je voulais écrire, et me disais que l’une d’elle serait le retour de ma mère et une promenade avec elle, je trouve une situation semblable dans Forêt Noire.

 
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Written when Charlotte was 14, and dated 1830, The Young Men’s Magazine, Number 2 measures only 35 x 61mm.

However, its interest to scholars – who, following the manuscript’s purchase by La Musée des Lettres et Manuscrits in Paris, will be able to study the work – is not proportionate to its size.

Contained within the Magazine’s 19 pages is a vivid tale of murder and madness entitled “A Letter from Lord Charles Wellesley”, which includes an episode prefiguring one of the most famous scenes in fiction:

whenJane Eyre’s Bertha – the so-called “madwoman in the attic” – sets fire to her husband Mr Rochester’s bed.

DECEMBRE 2011

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Detail Grotte 4

Grotte 4

Grotte 1

Drip 4

Grotte 2

Detail Cheval

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« Accompagne moi à la galerie marchande « 

Ampoules 1
projection

Img 4167

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Plat Terre 1Bis

Plat Terre Z

 

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JUIN 2011

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R. photographie des dessins et et B. les répertorie

J’oublie absolument tout de ce que j’écris sur mes dessins et suis surprise de retrouver là C.A

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dessin 2008? 150 X 110

MAIN NUMERIQUE

Image 1.png

 

Dessin + découpage

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detail 1 detail 2

150 cm X 100 cm

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Notes/ »ZOLIEN ET TRANSFILMIQUE »!!!

Comment faire pour être « Zolien et transfilmique »!!!!!!!?????????

Quand les cinéphiles sont pénibles ça donne ce genre de Trissotinerie.

Traite? Codociles

Pyrite
Notes 27112008
Notes

NESCAFE ET MARY AU MUR

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MARY au mur.tiff